Rendons un dernier hommage à Marine le Pull
Marine le Pull (1968-2022), née Marine Gonzaguine Edmée France le Pull de Orlénoir et Lébounioule, pull-iticienne française fille de son père, située plutôt à l'extrême-extrême-extrême-extrême-extrême droite sur l'échiquier pull-itique français.
Née en 1968, année tristement célèbre pendant laquelle. (Écrivez ce qui vous fait plaisir, moi ça me gonfle de devoir me taper tout le boulot à votre place). En effet, cette année de naissance peut s'expliquer aisément par le fait que son père n'avait rien d'autre à faire, n'ayant pas eu le courage de sauter les barricades avec les autres. C'est à peine s'il eût la force de sauter sa femme, qui pourtant était bien plus désirable qu'une barricade, d'après les photos parues à l'époque dans la Redoute et qui firent scandale ("et pourtant une belle barricade bien montée, ça fait toujours son petit effet", me disait hier encore Mon beau-frère qui est CRS, Juste avant de rajouter une dose de Ricard pour diluer son Pastis).
"C'était le portrait craché de son père" aurait déclaré la courageuse Anne Onime, après avoir copieusement mollardé sur une affiche allégorique représentant Jean-Marie Le Pull en habits de Jeanne D'arc, boutant les sweat-shirts anglais hors de France.
"Elle avait les yeux de son papa", aurait-elle ajouté, parce qu’elle était quand même bien renseignée (c'est une vraie source Anne Onime). En effet dès sa plus tendre enfance, Marine Le Pull s’était fait poser à l’instar de son père une prothèse oculaire, non pas pour raison de santé ou suite à un quelconque traumatisme facial, ni à cause d’une hérédité mordante, mais juste pour pouvoir rejouer avec son prétendant la fameuse scène du bal de Cendrillon : lorsque la princesse perd son œil de verre à minuit, et que le prince le fait essayer à toutes les femmes borgnes du Royaume pour retrouver à qui il appartient, puis la retrouve enfin grâce à ce merveilleux stratagème. On peut dire qu'elle aura toujours été une grande romantique, finalement. Si on devait retenir une qualité pour la caractériser, ce serait sans aucun doute l'amour (ça et les conjonctivites chroniques à force de refiler l'œil à n'importe quel orbite). Comme le dit si bien Adjani dans le pull marine, "C'est peut être un détail pour vous, mais pour moi ça veut dire beaucoup". A moins que ce ne soit dans l'amour à la machine de Souchon?
Depuis toujours, Le Pull Marine était l'opposée de sa sœur aînée, la très jolie Le Pull Mohair (à ne pas confondre avec Opel, sa Kadett). Partout on racontait que Le Pull Mohair était une véritable source de joie dans la vie morose de la famille Le Pull. Ne disait-on pas d'ailleurs que l'embellie Pull Mohair transportait sa mère alors même que l'embolie pulmonaire emportait son père?
Elle nous quitte finalement dans des circonstances étranges, entre deux tours de l'essorage présidentiel, lessivée suite à une erreur de programme dans la grande machine à laver pull-itique. Si elle avait manifestement pris soin de séparer le blanc et la couleur, elle fut malheureusement épinglée pour des propos clairement OMO-phobes.
Tous ses adversaires pull-itiques lui rendirent un vibrant hommage : D'Europe-écologie-pull-au-vert à la France En Chemise, de Nicolas C'est R'cousu à Ségo-Laine Royal, en passant par François Wool-land, Christine Lagarde-Robe, Nicolas(velinge) Hublot, Jean Linge Sale, ou encore le sortant Lessive-manuelle Macron (dit aussi Jupiter 2 en 1). Tous admirent qu'elle savait laver son linge sale en public, et reconnurent qu'elle avait fait beaucoup pour le blanchiment (de population ou d'argent).
Mais ce fut encore et toujours notre fameuse Anne Onime qui fut la plus inspirée, lorsqu'elle eut ces mots magnifiques en guise d'épitaphe:
"Essorage, oh désespoir, oh vitesse ennemie..."
Née en 1968, année tristement célèbre pendant laquelle. (Écrivez ce qui vous fait plaisir, moi ça me gonfle de devoir me taper tout le boulot à votre place). En effet, cette année de naissance peut s'expliquer aisément par le fait que son père n'avait rien d'autre à faire, n'ayant pas eu le courage de sauter les barricades avec les autres. C'est à peine s'il eût la force de sauter sa femme, qui pourtant était bien plus désirable qu'une barricade, d'après les photos parues à l'époque dans la Redoute et qui firent scandale ("et pourtant une belle barricade bien montée, ça fait toujours son petit effet", me disait hier encore Mon beau-frère qui est CRS, Juste avant de rajouter une dose de Ricard pour diluer son Pastis).
"C'était le portrait craché de son père" aurait déclaré la courageuse Anne Onime, après avoir copieusement mollardé sur une affiche allégorique représentant Jean-Marie Le Pull en habits de Jeanne D'arc, boutant les sweat-shirts anglais hors de France.
"Elle avait les yeux de son papa", aurait-elle ajouté, parce qu’elle était quand même bien renseignée (c'est une vraie source Anne Onime). En effet dès sa plus tendre enfance, Marine Le Pull s’était fait poser à l’instar de son père une prothèse oculaire, non pas pour raison de santé ou suite à un quelconque traumatisme facial, ni à cause d’une hérédité mordante, mais juste pour pouvoir rejouer avec son prétendant la fameuse scène du bal de Cendrillon : lorsque la princesse perd son œil de verre à minuit, et que le prince le fait essayer à toutes les femmes borgnes du Royaume pour retrouver à qui il appartient, puis la retrouve enfin grâce à ce merveilleux stratagème. On peut dire qu'elle aura toujours été une grande romantique, finalement. Si on devait retenir une qualité pour la caractériser, ce serait sans aucun doute l'amour (ça et les conjonctivites chroniques à force de refiler l'œil à n'importe quel orbite). Comme le dit si bien Adjani dans le pull marine, "C'est peut être un détail pour vous, mais pour moi ça veut dire beaucoup". A moins que ce ne soit dans l'amour à la machine de Souchon?
Depuis toujours, Le Pull Marine était l'opposée de sa sœur aînée, la très jolie Le Pull Mohair (à ne pas confondre avec Opel, sa Kadett). Partout on racontait que Le Pull Mohair était une véritable source de joie dans la vie morose de la famille Le Pull. Ne disait-on pas d'ailleurs que l'embellie Pull Mohair transportait sa mère alors même que l'embolie pulmonaire emportait son père?
Elle nous quitte finalement dans des circonstances étranges, entre deux tours de l'essorage présidentiel, lessivée suite à une erreur de programme dans la grande machine à laver pull-itique. Si elle avait manifestement pris soin de séparer le blanc et la couleur, elle fut malheureusement épinglée pour des propos clairement OMO-phobes.
Tous ses adversaires pull-itiques lui rendirent un vibrant hommage : D'Europe-écologie-pull-au-vert à la France En Chemise, de Nicolas C'est R'cousu à Ségo-Laine Royal, en passant par François Wool-land, Christine Lagarde-Robe, Nicolas(velinge) Hublot, Jean Linge Sale, ou encore le sortant Lessive-manuelle Macron (dit aussi Jupiter 2 en 1). Tous admirent qu'elle savait laver son linge sale en public, et reconnurent qu'elle avait fait beaucoup pour le blanchiment (de population ou d'argent).
Mais ce fut encore et toujours notre fameuse Anne Onime qui fut la plus inspirée, lorsqu'elle eut ces mots magnifiques en guise d'épitaphe:
"Essorage, oh désespoir, oh vitesse ennemie..."
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